Les véhicules complémentaire, qu’ils soient à essence ou diesel, sont soumis à un contrôle technique supplémentaire appelé contrôle antipollution. La législation précise les types de véhicule couvert, la fréquence des tests, la procédure et les points de contrôle à visiter.
Pourquoi ai-je besoin d’un contrôle de la pollution ?
Les contrôles antipollution sont exigés par la loi pour prévenir la pollution émise par une voiture complémentaire, qui parcourent généralement de plus longues distances et transportent des charges plus lourdes. Cela augmente la consommation de carburant et les émissions. L’objectif de la visite d’émissions est de contrôler la pollution environnementale.
Vous remarquerez que le prix de contrôle de la pollution varie d’une région à l’autre. La seule obligation imposée par l’État est d’indiquer le prix pratiqué dans chaque centre.
Essais obligatoires pour une voiture utilitaire léger
Les propriétaires de voiture utilitaire léger (VUL) dont l’âge du véhicule est supérieur à quatre ans et dont le poids total en charge est inférieur ou égal à 3,5 tonnes sont tenus de se soumettre à un contrôle des émissions. Cela signifie que tous les voitures de la catégorie N1 (marqués d’un « J » sur la carte d’immatriculation) sont soumis à des contrôles supplémentaires, à l’exception des deux cas suivants :
Voitures à moteur à allumage commandé fabriqués avant le 1er octobre 1972
Véhicules équipés de moteurs à allumage par compression (diesel) fabriqués avant le 1er janvier 1980.
À quelle fréquence il faut faire le test d’émissions sont-ils effectués ?
Quand doivent-ils être présentés pour être conformes à la législation ? Les tests antipollution pour les véhicules commerciaux doivent être effectués entre deux contrôles techniques réguliers. Plus précisément, entre le 10e et le 12e mois après le précédent contrôle technique.
Note : Aucun test supplémentaire ne sera effectué sur les véhicules ayant dépassé le délai après la fin du contrôle d’immatriculation. Une combinaison de contrôles techniques et d’inspections complémentaires de contrôle de la pollution permet de vérifier chaque année les polluants émis par les véhicules utilitaires.
Depuis l’évolution de la réglementation en 2018, la prochaine échéance du contrôle pollution est indiquée sur le tampon de contrôle du véhicule, sur la carte grise et sur le rapport de contrôle technique.
Quels sont les points de contrôle dans la procédure d’essai anti-pollution ?
Lors des contrôles complémentaires effectués dans des centres agréés par la préfecture, différents critères sont vérifiés, principalement en ce qui concerne les émissions de gaz d’échappement.
- Gaz d’échappement : opacité de la fumée, teneur en dioxyde de carbone dans les gaz d’échappement.
- Gaz d’échappement : étanchéité et fixation des conduits d’échappement.
- Contrôle OBD : selon le modèle.
- Inspection du réservoir de carburant et des conduites de carburant.
Tous ces points sont vérifiés si le visite constate un défaut grave.
Pour une voiture à essence, la vérification du contrôle des émissions dépend principalement du taux d’émission de CO2. Le taux admissible dépend de la date de mise en service du véhicule.
- Pour les véhicules utilitaires diesel, le respect des limites d’émission dépend notamment de l’opacité des fumées émises.
- Si les émissions de gaz d’échappement sont trop épaisses ou si le bruit de l’échappement est trop fort, vous pouvez être pénalisé lors d’un contrôle routier. La police peut vous donner une contravention.
Comment prévoit-on la lutte anti-pollution ?
Les véhicules et les moteurs bien entretenus polluent moins. Il faut faire inspecter et les régler régulièrement afin de passer le test de prévention de la pollution du contrôle technique ! » Pour tous les moteurs, il est préférable de vérifier le système d’allumage, le système de carburateur et la pompe à injection. Des vidanges régulières et l’utilisation d’une huile moteur de haute qualité sont également utiles. Vous pourrez alors vous rendre au rendez-vous de la dépollution dans les meilleures conditions possibles !